Cultiver (aucun) de vos propres produits - Est-ce la "nouvelle normalité" ?

Le public est-il subliminalement découragé de l'autosuffisance alimentaire, et abandonne-t-il notre indépendance à une nouvelle normalité de dépendance totale de l'État ?

Avec les récentes hausses du coût de la vie et les problèmes de chaîne d'approvisionnement alimentaire observés dans de nombreux pays, on pourrait être enclin à se tourner vers la culture de sa propre nourriture comme moyen d'autosuffisance et de réduction des coûts. Il n'aurait certainement pas été déplacé que nos dirigeants politiques encouragent de tels projets ; je pourrais imaginer qu'une campagne du style "Creusez pour la victoire" avec des messages dignes d'une guerre soit quelque chose de particulièrement attrayant pour nos dirigeants comme moyen d'améliorer la popularité du public (ce que le deux candidats au poste de Premier ministre britannique et le chef de l'opposition qui font cruellement défaut). Une telle politique devrait certainement être accueillie favorablement en ce qui concerne le changement climatique également, car la culture en propre entraînera inévitablement une réduction des émissions dues aux transports. Il existe même des arguments en faveur de la santé, comme le prouve l'étude de l effet des pesticides sur le corps humainIl en faudrait beaucoup moins si l'on produisait davantage de nourriture chez soi.

Au contraire, nous avons constaté le contraire ; l'interdiction des tuyaux d'arrosage a été mis en place dans certaines parties de l'Angleterre en réponse au faible niveau des rivières et au changement climatique. Même les agriculteurs ont été limités d'arroser leurs propres cultures. Cette situation serait déjà assez grave pour les personnes souhaitant cultiver leurs propres légumes, mais le fait de restreindre délibérément l'accès à l'eau est en passe de devenir une réalité. politique gouvernementale à long terme au Royaume-Uni et dans l'UE. Il n'est pas question de " cultiver sa propre terre " en de telles circonstances, mais seulement de " cultiver sa propre terre ". acheter celui de quelqu'un d'autre nourriture (ou mieux encore, insectes et personnes) est plutôt dans les médias.

Il est choquant de constater que ce n'est pas la fin des mesures prises dans le monde pour décourager les propriétaires et les agriculteurs indépendants de cultiver leur propre nourriture. L'État de Victoria en Australie a maintenant le pouvoir de saisir le bétail et les denrées alimentaires produites sur place à volonté des citoyens privés s'ils sont jugés "contaminés". Prenez ensuite l'Agenda 2030 de l'ONU qui, parmi de nombreuses autres choses, vise à contrôle descendant de l'accès aux semences. Nous avons alors Bill Gates achète des terres agricoles avec le genre d'argent qui pourrait facilement concurrencer les producteurs indépendants ou les personnes qui espèrent se lancer. 

Les étiquettes des médias les poulets de basse-cour (pas ceux en cage) sont considérés comme "dangereux".promouvoir l'idée de les fermes d'agrément abritant des maladies et les poulets en liberté augmentent en quelque sorte le risque de futures pandémies. Ils vont tuer les poulets testés positifs pour la grippe aviaire. par PCR, même si La PCR n'est pas un outil de diagnostic adéquat. Ensuite, on prétend que les "produits chimiques éternels" qui ne peuvent être décomposés par les processus biologiques ont... contaminé toutes les réserves d'eauet qu'ils sont mettre fin aux efforts des gens pour cultiver des aliments. Même l'acte de jardiner lui-même, une fois promu comme un avantage pour la santéest maintenant le sujet à la peur.

Tout cela donne l'impression que quelqu'un, quelque part, ne veut pas que nous cultivions notre propre nourriture. Seriez-vous heureux de ne pas avoir le droit de cultiver votre propre jardin, d'élever vos propres poulets pour les œufs ou de vous voir retirer votre parcelle de terrain ? Bien que nous n'en soyons peut-être pas encore là, une partie de moi ne serait pas surprise si c'est ce vers quoi nous nous dirigeons. Après tout, cela correspondrait certainement à la "ne possédez rien et soyez heureux" l'ordre du jour.

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